Marcel Legay
Marcel Legay | |
Marcel Legay pèr Fernand Fau
dins Les Hommes d'Aujourd'hui, liméro 415 | |
Nom d' naissance | Arthur Jacques Joseph Legay |
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Né(e) l’ | 8 ed novimbe 1851 Ruitz, Pas-d'Calés |
Défuncté | 16 éd marche 1915 Paris 9ème |
Ginre musical | canchon franchoèse |
instrumint | Cant |
Innées actives | 1876 – 1915 |
Arthur Jacques Joseph Legay dit Marcel Legay, l'est nè au 8 ed novimbe 1851 à Ruitz (Pas-d'Calés) et pi l'est défunctè au 16 éd marche 1915 à Paris 9e. Ch' est un canchonnier [1].
Il étôt surlonmé « ch' barde à ch' bouc noér » o coère ech « chauve chevelu » (pelèe chevelu). Il est considérè conme ch' précurseu d'chés canchonniers d' Montmartre [2].
Marcel Legay est issu d'ène famille d' porions du Pas-d'Calés. À la suite de la déclaration de la guerre franco-allemande de 1870, il s'ingage au 20e cacheurs à pied, pis i termine sin service dins l' musike du 43e régimint d'infanterie d' Lille conme clérinettisse [3].
I vient à Paris in 1876 doùsqu' i cminche à canter et pi vinde ses canchons dins chés rues d' Montmartre et pi du wartier Latin.
Vers 1881, i cminche à canter au Chat Noir. I érjoint dins ch' cabaret-lo ch' groupe d'chés hydropathes. I rinconte à chole période-lo Aristide Bruant, Eugénie Buffet pi Alphonse Allais.
In 1882, i met in musike èl Chanson du semeur [4], canchon ingagèe d' Jean Baptiste Clément .
In 1885, il ouve sin cabaret éd la Franche Lippée, rue des Abbesses doùsqu' o met in musike des paches d' prose tirées d' Maupassant, Hugo, Louise Michel.
I s' produit souvint dins différints cabarets conme chés Quat'z'arts, ech Chien Noir, ech Lapin Agile, ech molin dé la Galette.
Il o ouvert pusieus cabarets : l' Alouette (1899), ch' cabaret du Grillon, cbés Noctambules (1904).
Quèques canchons très populoaires :
- Le bleu des bleuets (paroles Edmond Haraucourt) cantèe pèr Georges Brassens pi Mathé Altéry.
- Écoute ô mon cœur (1904) auchi lonmée canson du poéyis d'Artoés.
- Va danser inrégistrè in 1936 pèr Édith Piaf.
I s'est marié aveuc Berthe Duthier.
I défuncte l' 15 éd marche 1915.
Chés euves à Marcel Legay
[éditer | modifier ech wikicode]- 1886: Toute la gamme (éd. brandus) 15 canchons
- 1887: Les rondes du valet de carreau (Marpon et Flammarion, Teske George Auriol, illustracions Théophile Alexandre Steinlen) / (réédicion 1910, éd. librairie de la bonne chanson)
- Le valet de carreau
- Chanson du roy et de la reine
- La poupée
- La petite bobotte
- Le marchand de sable
- Buvons du lait
- Chanson des adieux
- La chanson des fous
- Chansons du peuple (éd Enoch) teske d' M. Boukay (Maurice Couyba) / illustracions Théophile Alexandre Steinlen)
- Prumière série
- Chanson des petits mendiants
- La chanson du myosotis
- La chanson de la violette
- La chanson de Floréal
- La chanson de Vendémiaire
- Chanson de l'hyménée (voix élevèes)
- Deusième série
- La chanson de Messidor
- La chanson de Brumaire
- La chanson de germinal
- La chanson de Ventôse
- La chanson de fructidor
- La chanson de Prairial (voé élevèes) / 6bis. èl meume (pour voé grave)
- Prumière série
- 1895: Chansons cruelles chansons douces (poèmes d'André Barde, ed. Paul Ollendorff)
- Le bouquet
- Chanson de fou
- Turlurette
- La dame aux yeux crevés
- Ton cimetière
- Le bouclier en peau de femme
- Représailles
- Sujétion
- Dernier madrigal
- La terrible vengeance
- Le portrait
- Attente
- Vampirisme
- Hypocrisie
- Les 3 corbeaux
- Malgré tout!
- Le cadavre
- Purification
- Mépris
- Au long des haies
- Ton rire
- Le ruisseau
- Aumone
- Nostalgie d'autrefois
- Lied platonique
- Ton sein
- Chanson d'automne
- Chanson d'hiver
- Ta peau
- Au soleil
- Coin du feu
- La gloire du mensonge
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, 1896, Flammarion, teske à M. Boukay (Maurice Couyba) / illustracions Théophile Alexandre Steinlen
- Chanson de Misère
- Chanson du Rémouleur
- Chanson de l’Oubli
- Chanson de l’Aiguille
- La Forêt rouge
- La Vigne rouge
- La Cité rouge
- Le Moulin rouge
- Noël rouge
- La Voleuse
- Les quatre Dames
- La Chanson du pauvre chanteur
- L’Agonie de l’Artiste
- Nocturne rouge
- Aubade rouge
- Fermez la porte
- En face
- Les Ventres
- Chanson de Nature
- Le Mot passé
- La Dernière Bastille
- La Chanson du Laboureur
- Le Lys rouge
- Les Chardons
- Les Pissenlits
- Chanson des Maréchaux
- Et puis après
- Le roi Plutus
- L’Homme de bronze
- Tu t’en iras les pieds devant
- La Madeleine
- La Femme libre
- Le Coq rouge
- Reine du Monde
- L’Étoile rouge
- Le Soleil rouge
- 1896: Chansons de cœur (éd. Ollendorff, poésie d'Emile Antoine, couverture Steinlein)
- 1898: Chansons Fragiles (éd Flammarion, poémes à Paul Romilly)
- 1900: Les ritournelles (éd Baudoux, poémes de Paul Moselle), réédicion in 1915 éd. Vanier : 20 canchons
- ( ? ): Les chansons nouvelles (éd. Enoch poémes d' Émile Antoine, André Barde, Maurice Boukay, J-L Croze, Leon Durocher, L Hérel, Paul Marroc, Henri Murger, Camille Soubise) : 15 canchons (dont 4) Les cloches / 8) pourquoi files-tu)
- 1906: le Chansonnier Marcel Legay ; Les dix plus grand succès
- La Musique pour Tous (portrait dessiné pèr Lucien Victor Guirand dé Scevola).
- Chanson de Fou (paroles d' André Barde) / Et voilà pourquoi Madeleine ou l'école buissonière [5] (paroles à Léon Durocher) / le Bleu des Bleuets (paroles d' Edmond Haraucourt)
- le chapelet d'amour (paroles d' Villemer pi H.Ryon) / Jean-Pierre (paroles d' Richepin)
- le serment trahi (paroles de Gabriel Montoya) / premier aveu (paroles d' Marcel Legay) / les muguets blancs (paroles d' Jehan Sarrazin)
- Y a d'la gloire (paroles d' Léon Durocher) / mes moutons (poésie d' Charles Quinel)
- Eutes canchons:
- Su des teskes à Léon Durocher : le marchand de clous d'or (1903) / la Montmartroise
- avu ses propes teskes : Écoute ô mon cœur (éd Braun-Philippo 1904) / l'heure du rendez vous (illustracions Steinlein)
- À la dérive (collection Grimaud, poéme à Jean Richepin, 1889) / Mes moutons (teske Charles Quinel, éd joubert) / Le gueux (?) / La chanson des couleurs (teske Y. Lug) /
- La sainte bohème (éd. imprimerie des annales, 1894, teske Théodore de Banville) / Sans rien dire (teske Moselle, éd. Rouart)
Notes pi référinches
[éditer | modifier ech wikicode]- ↑ 10 ans de bohème, Emile Goudeau, Édition Champ Vallon ,p. 517 (2000)
- ↑ archives/grande encyclopédie Larousse d' 1971-1976 p. 2826
- ↑ Leon De Bercy "Montmartre et ses chansons" H. Daragon éditeur (Paris-1902)
- ↑ Robert Brécy, La chanson de la commune: Chansons et poèmes inspirés par la commune de 1871, les éditions ouvrières, 1991
- ↑ Et voila pourquoi Madeleine ou l'Ecole buissonnière : chanson dseur Bibliothèques spécialisées de la Ville de Paris. Consulté l' 2018-02-15
- Site marcel-legay.com
- Yves Bertrand, Le chansonnier Marcel Legay -- Le son d'une belle âme, Collection Cabaret, L'Harmattan, (2015)